...où
il présente son tout dernier livre « Ce virus qui rend fou » paru
chez Grasset.
Comme toujours, BHL peut être exaspérant : mégalomane, narcissique en diable, donneur de leçons, parfois excessif dans ses simplifications pédagogiques à des fins médiatiques.
Mais enfin...
Quand il dénonce le risque démocratique d’un pouvoir scientifico-médical qui n’est pas moins dangereux que le pouvoir des juges ou celui des experts, il n’a pas tort !
Quand il présente le « repli sur soi » glorifié à l’occasion du confinement comme un piège pour l’humanité et qu’il présente le « goût des autres » comme infiniment préférable, il n’a pas tort.
Quand il dit que l’hyper-médiatisation du Covid-19 a éloigné des feux de la rampe des drames bien plus épouvantables pour l’humanité comme le retour de la faim dans le monde, la guerre en Syrie ou les réfugiés de Lesbos, il n’a pas tort.
Quand il affirme qu’il ne voit quasiment pas de « bienfait » de la crise et que les villes vides, sans humains, sont bien tristes, il n’a pas tort.
Bref, une fois encore, ce philosophe-là comme d’ailleurs Comte-Sponville l’a fait à plusieurs reprises pendant la crise, anime utilement le débat, alimente précieusement la réflexion.
Comme toujours, BHL peut être exaspérant : mégalomane, narcissique en diable, donneur de leçons, parfois excessif dans ses simplifications pédagogiques à des fins médiatiques.
Mais enfin...
Quand il dénonce le risque démocratique d’un pouvoir scientifico-médical qui n’est pas moins dangereux que le pouvoir des juges ou celui des experts, il n’a pas tort !
Quand il présente le « repli sur soi » glorifié à l’occasion du confinement comme un piège pour l’humanité et qu’il présente le « goût des autres » comme infiniment préférable, il n’a pas tort.
Quand il dit que l’hyper-médiatisation du Covid-19 a éloigné des feux de la rampe des drames bien plus épouvantables pour l’humanité comme le retour de la faim dans le monde, la guerre en Syrie ou les réfugiés de Lesbos, il n’a pas tort.
Quand il affirme qu’il ne voit quasiment pas de « bienfait » de la crise et que les villes vides, sans humains, sont bien tristes, il n’a pas tort.
Bref, une fois encore, ce philosophe-là comme d’ailleurs Comte-Sponville l’a fait à plusieurs reprises pendant la crise, anime utilement le débat, alimente précieusement la réflexion.
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