Je
retrouve, dans ma bibliothèque, un vieux bouquin jauni (il date de
1946) que l’ami Daniel Herrero, de passage dans mes Pyrénées,
m’avait offert il y a quelques années : « Anthologie des textes
sportifs de la littérature » de Gilbert Prouteau (paru aux éditions
« Défense de la France »....ça ne s’invente pas !).
J’y trouve ces mots qui peuvent avoir quelque résonance par les temps qui courent :
« Là où passe le sport pousse le gazon le plus dru de la nation »..... « qui néglige l’entraînement de son corps néglige la santé de son pays ».... « Ce sont les nations sportives qui ont, au plus haut degré, le respect des malingres et l’amour des faibles ».
J’y trouve ces mots qui peuvent avoir quelque résonance par les temps qui courent :
« Là où passe le sport pousse le gazon le plus dru de la nation »..... « qui néglige l’entraînement de son corps néglige la santé de son pays ».... « Ce sont les nations sportives qui ont, au plus haut degré, le respect des malingres et l’amour des faibles ».
C’est de la plume de Jean Giraudoux.
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