Mort de Chavez.
Un homme au charisme extraordinaire. Il savait parler au
peuple, incarner le peuple.
Un homme qui a « fait, concrètement, du
social » avec un taux de pauvreté en nette régression, un taux d’inégalité
en chute, des efforts immenses pour l’éducation.
Mais un homme qui a entrainé l’économie vénézuélienne vers
une hyper dépendance au pétrole, avec une inflation à 22%, une dette multipliée
par 5 en 10 ans , l’effondrement de la monnaie.
Et un homme qui n’a pas su enrayer l’épouvantable cycle de
la violence : 22.000 homicides par an, record insupportable.
Un bilan mitigé.
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