mercredi 30 avril 2014

Communiqué sur le dossier ALSTOM

Aujourd’hui la branche énergie d’Alstom, 9000 emplois industriels en France, mais 70% du chiffre d’affaires est en vente par manque de capitaux pour assurer sa pérennité et sa compétitivité à l’international.
Aussitôt se mettent à l’œuvre les joueurs de Monopoly capitalistiques qui ne respectent ni les frontières, ni les institutions démocratiques des pays concernés – le nôtre en l’occurrence – ni les intérêts des salariés dans près de 25 sites industriels et, donc, 25 territoires comme le nôtre avec l’usine de SEMEAC-SOUES, même si celle-ci dépend de la branche « transports » et non « énergie ». Mais elle est fragilisée par ricochet.
« Aussitôt, on découvre qu’après la crise qu’avait traversé ALSTOM il y a un peu plus de 10 ans, le montage trouvé par le soi-disant « sauveur » de l’époque, un dénommé SARKOZY, en introduisant le copain du pouvoir de l’époque, le groupe BOUYGUES, sans aucun projet industriel était d’une grande fragilité. La preuve…
La France ne veut pas se laisser piller sa filière électronucléaire, hydraulique, son industrie d’équipement, ses activités de recherche-développement et ses avancées technologiques dans le domaine de l’éolien offshore et ses réseaux électriques intelligents. Il est nécessaire avec l’intervention de l’Etat de trouver les partenariats industriels qui préservent dans la durée les centres de décision, la recherche-développement et les activités de fabrication en France et en Europe.
Il est indispensable d’élaborer une stratégie industrielle de long terme, avec de grands groupes industriels qui ont besoin de financement de longs termes…
La crédibilité de l’Europe passera aussi par une stratégie européenne en faveur de l’industrie et de l’énergie !
« Avec les représentants des salariés de l’usine ALSTOM locale, les élus de l’agglomération et du département se battront pour défendre leurs intérêts et ces objectifs industriels ».

vendredi 25 avril 2014

Participation à l'émission "La voix est Libre" 26 avril 11h30

Demain, samedi 26 avril je participerai à l'émission "La voix est Libre" sur le thème "Les Socialistes et Jaurès" diffusée sur France 3 Midi-Pyrénées à 11h30.

mardi 22 avril 2014

Mardi 22 avril



                Le plan annoncé par Manuel Valls est d’une ampleur conséquente : 50 Milliard d’économie, répartis entre l’état, la Sécurité Sociale et les collectivités locales.
                Je l’approuve dans son ambition en précisant qu’on n’est pas de Droite à 50 Mds d’économie et de Gauche à 35…
                Mais aussitôt j’ajoute que ce plan, annoncé malencontreusement sans la moindre information du Parlement, doit désormais être… soumis au Parlement.
                Et je plaide pour que celui-ci l’amende.
                Parce que c’est son droit.
                Parce que c’est son devoir.
                Ça tombe bien, il y a des économies très discutables notamment celle sur les retraites. Les petites retraites particulièrement.
Et il y a des dépenses très discutables aussi : certaines aides aux entreprises, les banques et les assurances notamment ou bien toutes les entreprises « rentières » qui ni n’investissent, ni n’innovent, ni ne se battent sur les marchés internationaux.
                Bref il y a, me semble-t-il, du « grain à moudre » pour le débat.

Lundi 21 avril



                Lundi de Pâques, fête chrétienne.
                Révérence générale pour le pape François, incroyable construction médiatique.
                Pourtant, ce pape, comme son prédécesseur, condamne la contraception, la liberté des femmes à disposer de leurs corps, l’homosexualité, le mariage gay… Sur le fond, toujours le conservatisme, sur la forme, la béatitude des médias… ça n’est pas incompatible.
 

Dimanche 20 avril



                Libération de nos quatre journalistes-otages en Syrie.
                Belle cérémonie de concorde nationale à Villacoublay.
                J’écoute le Président Hollande dire la fierté de la France d’avoir des journalistes courageux, prêts à prendre des risques pour que vive la liberté d’information.
                Et je me souviens, justement, de Sarkozy (vous savez, le « super-bon » !) qui, dans des circonstances comparables, dénonçait ces « irresponsables » qui prenaient des risques inconsidérés et coûtaient cher à nos services pour leur libération.          
                Je préfère le discours d’aujourd’hui.
 

Samedi 19 avril



Je vois Sarkozy dans la tribune du stade de France pour assister à la finale de la Coupe de la Ligue.
                Et, le même jour, à la même heure, je lis un article où, en off, il qualifie de « nul, archi nul, nul de chez nul » celui qui lui a succédé à l’Elysée.
                Mais, dites-moi, pour se faire battre par un « nul, archi nul », il fallait être bon, très bon, super-bon ?

Vendredi 18 avril




Invité du Grand Journal de Canal Plus, devant les images de Bouteflika votant dans un fauteuil roulant et réélu avec 81% des voix, je me laisse aller : « c’est ce qu’on appelle une élection dans un fauteuil ». C’est hors antenne mais Antoine de Caunes s’empresse de le répéter. Pardon.