bien sûr, et le corps de ballet du Capitole de Toulouse, dirigé par Kader Belarbi.
Du déjanté pur. Vraiment déjanté. La fin est pathétique et bouleversante, mais les chemins empruntés par la mise en scène sont d’une créativité folle, souvent très drôle, parfois déroutante. Impossible de s’ennuyer. Académiques s’abstenir…
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