
Ca se lit
très facilement, très. Trop peut-être. Et il est dommage pour
l'auteur que son échange avec Robert Misrahi, grand spécialiste de
Spinoza, qu'il a l'honnêteté de placer en postface, vienne le
contredire sur tel ou tel point majeur de son développement :
"N'existe-t-il pas dans un pays calviniste " (Spinoza, juif
excommunié, vivait aux Pays-Bas...)" au 17ème siècle, la
possibilité secrètement athée? " dit Misrahi à Lenoir qui
s'évertue à présenter Spinoza comme un croyant en un Dieu
revisité...
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