J’ai
des désaccords politiques avec Emmanuel Macron, beaucoup de
désaccords. Et, si j’ose dire, cette satanée réforme des
retraites, mal fagotée, mal préparée, peu et mal négociée,
injuste, incroyablement idéologique, et finalement imposée a été
comme une goutte d’eau faisant déborder le vase.
Bon, c’est
dit.
Je me sens d’autant plus libre de dire que j’ai trouvé son allocution d’hier soir, consacrée à la lutte contre ce fichu coronavirus, particulièrement bien sentie.
Parce que, pour une fois, il ne s’est pas adressé à une catégorie de français, les catholiques, les musulmans ou je ne sais qui, mais à tous les français.
Parce qu’il n’a pas parlé de nos différences mais de notre commun.
Parce qu’il n’a pas parlé de croyances mais de science et de connaissance.
Parce que ses mots « protéger les plus vulnérables d’entre nous » semblaient relever d’un humanisme vrai .
Parce qu’il a parlé des valeurs qui font la France éternelle.
Parce qu’il s’est montré, pour une fois, rassembleur.
Alors, les mauvais esprits diront que tout cela n’était que des mots et de la communication politique. Mais d’une part ce serait se placer sur le plan des procès d’intention et, de plus, en période de crise, quand les citoyens ont peur ou s’interrogent, les bons mots et le bon ton sont vraiment les bienvenus.
Je me sens d’autant plus libre de dire que j’ai trouvé son allocution d’hier soir, consacrée à la lutte contre ce fichu coronavirus, particulièrement bien sentie.
Parce que, pour une fois, il ne s’est pas adressé à une catégorie de français, les catholiques, les musulmans ou je ne sais qui, mais à tous les français.
Parce qu’il n’a pas parlé de nos différences mais de notre commun.
Parce qu’il n’a pas parlé de croyances mais de science et de connaissance.
Parce que ses mots « protéger les plus vulnérables d’entre nous » semblaient relever d’un humanisme vrai .
Parce qu’il a parlé des valeurs qui font la France éternelle.
Parce qu’il s’est montré, pour une fois, rassembleur.
Alors, les mauvais esprits diront que tout cela n’était que des mots et de la communication politique. Mais d’une part ce serait se placer sur le plan des procès d’intention et, de plus, en période de crise, quand les citoyens ont peur ou s’interrogent, les bons mots et le bon ton sont vraiment les bienvenus.
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