Hier, dans son intervention télévisée du 14 juillet, le
Président de la République s’est, surtout, longuement étendu sur la situation
internationale, l’accord sur la Grèce – que je voterai, bien sûr, à l’Assemblée
– et l’accord sur le nucléaire iranien qui intéresse peu nos compatriotes,
hélas, mais qui est une excellente nouvelle pour la paix.
Et
puis, le Président a parlé de la France, - il a même cité De Gaulle et
« une certaine idée de la France »- de la patrie, de ce qui nous rassemble.
Autant
le dire : j’attendais ces mots depuis 3 ans et je me réjouis d’autant plus
aujourd’hui.
Le premier rôle du Président de la République est d’incarner
la France et de parler aux français de leur « commun », leur
« nous », leur « rassemblement », leurs valeurs. C’est bien
de l’avoir fait. Très bien. Il faut poursuivre. Accessoirement, chacun verra la
différence avec celui qui ne fait que diviser, énerver, exciter.
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