La Cour Européenne de
Justice condamne la France qui refuse de reconnaître les enfants de
mère porteuse à l'étranger.
La Cour Européenne a
raison.
On peut avoir toutes les
réserves que l'on veut – et c'est mon cas – contre la
« Gestation pour autrui », au nom par exemple du refus de
la commercialisation du corps. Mais après ?
Après, que fait-on des
enfants nés de GPA à l'étranger, là où c'est autorisé ?
On leur refuse tout
droit, toute existence, toute reconnaissance ?
On fait comme faisait
l'apartheid avec les noirs en Afrique du Sud avant 94 : vous
n'existez pas, je ne vous reconnais pas ?
Il faut tenir bon sur les
principes et faire preuve d'humanisme dans leur application.
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