Démission d’un
conseiller du Président dont je n’ose même écrire le nom. Ne le retenez pas,
vous n’en entendrez plus jamais parler.
Je ne sais
pas ce qui me choque le plus du conflit d’intérêt d’un haut fonctionnaire qui
contrôlait les laboratoires pharmaceutiques en étant payé par eux ou bien des
comportements quotidiens de ce petit marquis qui pérorait dans le palais
présidentiel.
Vanité, tout
n’est que vanité.
Mais le
peuple sera sévère et il aura bien raison.
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