Je vois
Sarkozy dans la tribune du stade de France pour assister à la finale de la
Coupe de la Ligue.
Et, le même jour, à la même heure, je lis un article
où, en off, il qualifie de « nul, archi nul, nul de chez nul » celui
qui lui a succédé à l’Elysée.
Mais, dites-moi, pour se faire battre par un
« nul, archi nul », il fallait être bon, très bon, super-bon ?
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