Je
retrouve avec grand plaisir l'ancien président de la commission
européenne, l'ancien ministre, le camarade et je suis honoré,
touché de son invitation. Il voulait bavarder, comme ça, librement,
amicalement en tête-à-tête et ce fut un immense plaisir pour moi.
Car le vieil homme, 90 ans bientôt 91, n'a rien perdu de son acuité
intellectuelle, de son sens de l'Etat, de sa passion de l'Europe, de
sa rigueur morale. Et il en a des choses à dire ! Comme je déteste
l'instrumentalisation, je ne me ferai pas son porte-parole. Mais que
ces hommes-là nous manquent !
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