lundi 26 décembre 2022

Vu «  Les bonnes étoiles «  le dernier film de Hirokazu Kore-Eda, le cinéaste japonais qui réalise et produit ce film en Corée ( du sud évidemment…) et l’avait présenté au dernier festival de Cannes.

 Une histoire de famille comme les affectionne l’auteur, qui est aussi une histoire de
trafic d’enfants: la mère, une prostituée qui n’a pas voulu avorter ( « mieux vaut abandonner que tuer» dit-elle dans un curieux raccourci), son bébé et deux experts en trafics d’enfants, auxquels s’ajoute un gamin déluré, forme une sorte de famille recomposée qui vit ensemble en recherchant le gros lot de la vente . La police les poursuit et veut les prendre « la main dans le sac » . C’est bourré de tendresse et de sentiments attachants, ce qui est plutôt un exploit dans le cadre d’une histoire sordide, même si c’est aussi plein de longueurs inutiles. Le film aurait pu faire une demie-heure de moins.

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