mercredi 29 avril 2020

Lu « Nuit sombre et sacrée » de Michael Connelly,


paru chez Calmann Levy, traduit de l’anglais par Robert Pépin. 
Le roi du roman policier américain nous propose un bon livre de détente pour période de déconfinement...L’histoire se passe à Los Angeles au cœur de l’action des différentes polices dans leur combat au quotidien contre la criminalité sous toutes ses formes. Et il y a de quoi faire...
Deux officiers de police de polices différentes, une jeune femme, Renée Ballard, surfeuse acharnée et un vieux policier semi-retraité, Harry Bosch, se retrouvent involontairement mêlés dans une enquête sur une « cold case » ( entendez ce terme d’affaire « froide » comme une vieille affaire non élucidée), le meurtre d’une jeune fille dans des milieux où la toxicomanie et la prostitution ne sont pas absents. Après s’être « reniflés », le binôme va se conjuguer efficacement, non sans connaître des tas de rebondissements pleins de suspens, on le devine. Le problème est que ces deux policiers font cela en dehors ou en plus de leur travail quotidien. Problème pour eux en termes d’emploi du temps, problème pour le lecteur qui est plongé dans tout un tas d’autres affaires criminelles, plus ou moins élucidées au jour le jour et dans lesquelles il se perd, les mélangeant parfois avec l’affaire « centrale ». 
Mais bon, un polar de qualité et facile à lire. Un Connelly quoi...

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