samedi 25 juillet 2020

Lu « L’énigme de la chambre 622 » de Joël Dicker, aux Editions Bertrand de Fallois.


L’ouvrage est, d’ailleurs un hommage personnel à l’éditeur disparu il y a peu et qui a beaucoup compté pour l’auteur. A de nombreuses reprises, celui-ci quitte donc son récit pour rappeler un souvenir personnel lié à cette relation amicale et même affectueuse.
Deuxième hommage rendu par l’auteur : l’intrigue se déroule à Genève, la ville où il est né, a grandi, fait ses études et vit toujours, la ville de sa famille depuis plusieurs générations. Bon, il s’agit là, personne ne peut s’y tromper, d’un livre de vacances, agréable et facile à lire, plein de rebondissements qui tiennent savamment en haleine le lecteur, expression remarquable d’une science avérée du suspense...mais on se laisse prendre docilement et on dévore le livre qui, tel « La vérité sur l’affaire Harry Quebert », le seul livre que j’avais lu de Dicker il y a quelques années, se situe entre le bon polar et le thriller contemporain.
La recette est infaillible, succès assuré, amateurs de plaisir littéraire sans prétention intellectuelle excessive, laissez-vous faire.... ça fait du bien de temps en temps .

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