
Et là, sous prétexte
d'un service militaire obligatoire qui n'existe pourtant pas au
Maroc, ils sont enfermés et, pendant 19 mois, sans pouvoir donner la
moindre nouvelle à leurs familles, ils vont être violentés,
humiliés, maltraités. Avant d'être relâchés du jour au
lendemain, sans aucune explication. Le récit est à la première
personne sans qu'on sache s'il est autobiographique.
C'est assez
poignant et cela donne une idée concrète de l'état de la
démocratie marocaine il n'y a pas si longtemps...
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