Vu « Tel père, tel fils », film du japonais
Hirokazu Kore-Eda qui était en compétition au dernier festival de Cannes.
C’est lent, très lent, mais c’est d’une grande sensibilité.
Bouleversant parfois.
Un couple des classes moyennes supérieures japonaises a un
fils unique de 6 ans. Le père est très ambitieux pour son fils.
Patatras, ils apprennent -6 ans après !- par la maternité qu’il y a eu inversion des
bébés et que ce fils n’est pas le leur.
Contact avec « l’autre
famille » qui, elle, a 3 enfants et d’un milieu social beaucoup plus populaire.
Ils décident de se rapprocher, d’échanger régulièrement les
garçons et, un jour…
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