Car il était seul danseur avec deux pianistes au milieu d’un drôle de décor : divers tapis de danse éparpillés, aux sonorités plus ou moins graves ou aigües, plus ou moins sourdes ou résonnantes, parfois objets de bruitages étranges. Musique sans âme, avec notamment une adaptation du «Sacre » de Stravinsky assez troublante. De flamenco point …si ce n’est dans les pieds ou quelques mouvements de bras. Car on n’est pas dans cette culture-là mais dans l’innovation. C’est intéressant mais jamais émouvant. Dommage.
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