L’ouvrage
est, d’ailleurs un hommage personnel à l’éditeur disparu il y a
peu et qui a beaucoup compté pour l’auteur. A de nombreuses
reprises, celui-ci quitte donc son récit pour rappeler un souvenir
personnel lié à cette relation amicale et même affectueuse.
Deuxième
hommage rendu par l’auteur : l’intrigue se déroule à Genève,
la ville où il est né, a grandi, fait ses études et vit toujours,
la ville de sa famille depuis plusieurs générations. Bon, il s’agit
là, personne ne peut s’y tromper, d’un livre de vacances,
agréable et facile à lire, plein de rebondissements qui tiennent
savamment en haleine le lecteur, expression remarquable d’une
science avérée du suspense...mais on se laisse prendre docilement
et on dévore le livre qui, tel « La vérité sur l’affaire Harry
Quebert », le seul livre que j’avais lu de Dicker il y a quelques
années, se situe entre le bon polar et le thriller contemporain.
La
recette est infaillible, succès assuré, amateurs de plaisir
littéraire sans prétention intellectuelle excessive, laissez-vous
faire.... ça fait du bien de temps en temps .
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