Ce qui me frappe, c'est le cran avec lequel il expose
qu'il reconnaît ses fautes, qu'il qualifie, lui de " morales" et, en même temps, que cela ne saurait avoir
la moindre conséquence politique...
Mais ce qui me navre, surtout, c'est que depuis plusieurs
semaines, on ne parle que de ça ! Et que la campagne électorale de la
présidentielle n'est plus, lue, vue, retranscrite qu'à travers le prisme de
" l'affaire" Fillon. Et qu'ainsi la France et les français sont, pour
l’instant, privés du débat d'idées pourtant si essentiel à notre démocratie. Allez-vous
étonner, avec ça, que près d'un français sur deux soit encore indécis !
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