Celui-ci est du même acabit, triste mais tendre. L'histoire d'une famille de trois personnes, les parents et un fils unique qui va être embrigadé par son père dans une aventure mytho maniaque vers l'Algérie française et l'OAS, à grands coups de raclées et de brimades violentes. Le père perd la tête, la mère subit et, étonnement, le fils résiste dans le temps et s'épanouira parce qu’abandonné ...Triste et sensible.
lundi 14 décembre 2015
Lu " Profession du père " de Sorj Chalandon paru chez Grasset.
Pour Sorj Chalandon, j'ai déjà dit mon estime et mon
affection. Le journaliste est un grand professionnel, l'écrivain est d'une
sensibilité rare, même s'il n'est pas parmi les plus gais. Son "
Retour à Killybegs", grand prix de l'académie française il y a quelques années,
était un très beau livre.
Celui-ci est du même acabit, triste mais tendre. L'histoire d'une famille de trois personnes, les parents et un fils unique qui va être embrigadé par son père dans une aventure mytho maniaque vers l'Algérie française et l'OAS, à grands coups de raclées et de brimades violentes. Le père perd la tête, la mère subit et, étonnement, le fils résiste dans le temps et s'épanouira parce qu’abandonné ...Triste et sensible.
Celui-ci est du même acabit, triste mais tendre. L'histoire d'une famille de trois personnes, les parents et un fils unique qui va être embrigadé par son père dans une aventure mytho maniaque vers l'Algérie française et l'OAS, à grands coups de raclées et de brimades violentes. Le père perd la tête, la mère subit et, étonnement, le fils résiste dans le temps et s'épanouira parce qu’abandonné ...Triste et sensible.
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