Il dit quitter la
politique, mais il veut y intervenir toujours.
Il ne va pas au Congrès de Poitiers, mais il s’y impose par
voie de presse.
Dehors ou dedans, dedans ou dehors, il ne sait pas choisir.
Voudrait-il avoir tous les avantages de la politique sans en
avoir les inconvénients ?
Participer au débat d’idées sans mettre les mains dans le
cambouis ?
Et puis, comble du paradoxe et de la contradiction : il
cosigne son texte avec un banquier milliardaire… Ce qui pour donner des leçons
de « gauche » n’est sans
doute pas le plus convaincant.
Conclusion : Montebourg n’en a peut-être pas encore
conscience mais il est vraiment sorti de la politique. Il est dans un autre
monde.
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