La guerre au Mali, toujours.
Avec, toujours, les mêmes précautions à prendre :
-
Celle du discours politique qui accompagne cette
guerre. Ne faisons pas comme Georges Bush et sa croisade grotesque,
condamnable, dangereuse, du bien contre
le mal. Sachons définir nos ennemis : des bandes terroristes barbares.
-
Celle de la définition précise et du contrôle
démocratique des missions confiées à nos troupes. Sachons tirer les leçons du
conflit en Afghanistan où nous sommes restés 11 ans sans réaliser que les
missions confiées à l’origine à nos soldats avaient été atteintes en 6 mois…
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Celle de la préparation, le plus tôt possible,
de l’avenir : après la guerre viendra la paix, la nécessaire solution politique
et l’indispensable plan de développement pour le Sahel.
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Préparons, d’ores et déjà, la PAIX.
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